30.11.09

 

des nouvelles trouvailles. des sorties de four qui font rêver!

Roberta dans l'atelier.
J'aurai l'occasion de faire un come back demain à ce sujet.









Côté création, cela fonctionne admirablement.
Après toute une semaine passée de sages carreaux-assiettes d'entre deux, ce matin j'ai entrepris une tablée récréative active.


J'appliquerai à ce travail une formule d'entourage immédiat.



J'avais entrepris de couper quelques carreaux assiettes en deux dans le sens digonale.
afin d'avoir des triangles pour réaliser au besoin des arrondis.
Mais cela donne des triangles rectangles qui se reforment en carré si on les réunit.
J'ai donc imaginé de leur enlever une bande en biais par les deux milieux des triangles, pour les rendre plus isocèles.
C'est fabuleux car j'étais nulle en chimie et par le biais de tous les essais que j'opère, avec différents produits je deviens calée en la matière
Et me voici en plus en train de parler géométrie!
Des apprentissages tardifs s'il en fut, c'est génial.
En fait je suis concrètes.
Le manganèse, le titane, et autres, pour moi sont des constantes dans mon activité de peintre.
Mais ils se traduisent en couleurs.
Ici, ils se transforment en raison des alliages et de l'intervention du feu.
C'est génial.



Tout ce, est la partie plaisir.

Pour le reste la réunion, au sujet des contrats et conventions, l'autre soir était difficile.
Le sujet n'est pas simple.
Je veux bien comprendre que les copains ne sont pas intimement de la partie, et que, par conséquent le fin du fin de mon interprétation des choses leur échappe.
Mais , ils m'ont toujours fait confiance et ils devraient pouvoir se dire que si je trouve à redire, c'est que quelque part je sais de quoi il retourne.
Merci Michèle d'avoir eu le courage d'exprimer les choses.
Sans Michèle, j'étais abandonnée.
Tout le monde était là, pour que l'on traîte des sujets aussi complexes et lourds de conséquence en trois quarts d'heure.
Il faut prendre phrase à phrase ce texte souvent pour le moins, maladroit.
Finalement décision a été prise de prendre le temps de "consulter" avec sérieux même si l'on peut comprendre qu'il y a nécéssité de faire la plus grande diligence possible.
En fait il y a trois nuits que je n'en dors plus.
Roberta notre jeune "doctorante, parmi nous depuis quelques jours disait qu'elle n'avait pas pu avoir de moi, une photo souriante!
Mais je suis à bout d'angoisse, c'est fou cela!




Heureusement pour moi, il y a eu le dimanche de la brocante.
Le public est entré dans l'atelier.
Des gens d'Aubagne qui me rapportent leur sentiment d'adhésion pour le projet et ceux de leurs amis et relations.
Des gens de Marseille qui connaissent mon travail ou le découvrent je peux dire avec enthousiasme et respect.
J'ai grand besoin de ce respect, tandis que d'aucuns semblent me traîter un peu cavalièrement.
Les gens sont impréssionnés, ils le disent, par la réalisation actuelle.
J'ai eu le bonheur de pouvoir échanger avec deux architectes aussi, sans parler de ma rencontre avec Jacques.................le jour précédent.
cela fera un récit à soi seul.




 

Je suis un peu fatiguée par les évènements qui se succèdent



Je suis un peu fatiguée, mais je récupère vite en général.
par contre la trop grande incompréhension, les trahisons, les "bousculations", pour un peu le manque de respect, les pressions, tout cela est trop pour moi!
Je raconte c't-aprèm............ danielle.

28.11.09

 

message pour marie du Blog.

Tout va bien Marie, mais j'ai été débordée ces trois jours derniers.
Rencontres fabuleuses hier à l'atelier et à la maison.
Je reprends cela plus en détail dans la journée.
Qui voudra bien me chercher le lien de ces deus artistes qui jouent avec les ombres portées au Gug à N.Y.
Merci à Corine Léridon pour son message documenté sur son voyage en Inde.
Je pars à l'atelier.
A plus.
danielle.

24.11.09

 

Le rêve de Manu.



Dessin rêvé par Manu.

 
Je suis désolée d'avoir à intervenir ainsi en contradiction avec les théories de mon amie principale, que j'aime beaucoup par ailleurs, mais les choses dites, écrites se répercutent, se survivent et pire se déforment.
J''aurai l'occasion d'en reparler.
Il est important que je puisse me situer en un pareil débat.
D’abord et avant tout, je supporte difficilement, je l’ai déjà dit, que l’on utilise des termes réducteurs y concernant : les gens autodidactes, et leur travail.
Je ne manifeste en l'occurence aucun parti pris social, mais je pense que l’art immédiat, est celui qui est généralement le plus vrai et le plus fort, quelle que soit la façon d’y procéder et fusse avec l’apport de matériaux divers.

Je ne suis pas stupide, ni ignare et je suis en mesure exacte d’apprécier toute l’étendue et les diverses façons d’aborder le mot « bricolage ».

Mais tout le monde n’entre pas dans ce type de subtilités et le terme par lui-même est réducteur.

« Du moment que je n’avais pas fait de plan, avant, c’était du « bricolage ».
Soutient-elle.
Les gens qui peuvent me voir travailler au jour le jour apprécieront s'il n'y a pas plusieurs façon d'établir des plans, et si mon travail n'est pas pensé.

Si l’on veut faire gronder la tempête en moi, il n’y a qu’à continuer d’utiliser de pareils arguments.

Pour mon amie,le fait d’être en état d’anarchitecture, relève de « « l’art du bricolage ».
Il paraît que cela procède de sa démarche intellectuelle.

Donc :
Me semble-t-il, effectivement elle a bien le droit de se mélanger les pinceaux, mais j’ai aussi celui de lui répondre.


J’ai bien entendu et par deux fois, sur ma radio préférée, que L-S dont « mon amie » se réfère avait émis l’idée qu’il y avait une différence entre les producteurs d’œuvres spontanées qu’il pouvait qualifier de « bricoleurs » (ce dont je lui laisse la responsabilité) et les réalisateurs d’environnements outsider art, qu’il qualifiait d’ingénieurs!
Mais j’écoute ma radio préférée en travaillant et j’ai pu mal entendre !



suite............

Je dirais qu'auparavant on parlait d'inventivité, et l'on définissait ce certain type de créateurs dont je suis comme des "chercheurs".
L'appellation ainsi formulée, m'allait très bien.
Bien entendu, tous les chercheurs ne trouvent pas forcément, mais je m'applique tant et si bien et depuis si longtemps, qu'il peut m'arriver de penser que cela vient!
danielle

23.11.09

 
Ce soir au menu: une salade avec des débris de saumon fuMé et des anchois accompagnée de pommes de terre en robe des champs.
Demain je ferai du lapin au chou rouge avec le chou du jardin de DJ MA COPINE;

 

Découverte de Jean-Claude, aujourd'hui.

Mon amie Isabelle m'avait invitée aujourd'hui à venir lui rendre visite dans l'atelier des peintres qu'elle fréquente depuis longtemps.

Grand merci Isa......
J'ai pu découvrir
les peintures de Jeean-Claude!
On en reparle.


 

 
J'imagine un mur en pants "monte-baisse" avec une inclinaison penchant vers le bas tout en haut, afin que l'on puisse voir chaque pièce de l'ensemble.
cela signifie qu'il pourrait partir comme un mur de pyramide, puis se reprendre en vertical et finir en position opposée à celle du départ.






J'ai tout fait pour y croire.
J'y croyais dans l'absolu, mais à présent l'absolu se fait jour.Cela devient une réalité tangible.
Il me semble que ce qui était jusqu'ici une utopie en puissance ou au mieux de l'archéolgie à l'envers devient réalisé, REALISATION.






Voulez-vous que je vous dise?
Les contes des mille et une nuits...............Je commence à y croire!

21.11.09

 
Mon livre est rangé dans l’armoire aux images endormies.
Mon roman,
N’est qu’un relaps
Mon mensonge en moi se meurt,
Et je n’étanche plus ma soif,
Que sur un lit d’illusions perdues.
Je ne voulais pas voir les tristes attristés,
Les naufragés du radeau des désabusés,
Je me berçais d’instants emmagasinés.
Mais je n’ose plus croire en mes rêves.
Pourtant Danielle a frappé à ma porte avec ses coings sortis de son jardin,
Et ses pommes rouges à la saveur d’antan.
Mes belles pommes si croquantes d’autrefois,
Quand justement je croquais la pomme.

Ecriture automatiquée
danielle jacqui.










Si j’ose m’aventurer en terrain miné, je dirai que j’opte pour une théorie constructiviste.
Je répète à satiété que l’aventure artistique, participe et conduit à notre construction.
Et que par conséquent, toutes les avancées sont des superpositions qui finissent par faire notre édifice !
Il ne saurait donc pas être question de « bricolage » quoiqu’il en soit !
Dès lors qu’un amoncellement de productions s’accomplit, et quelle qu’en soit la nature.

19.11.09

 

Au fait, t'es passé où J-Gb?

T'me manques mon p'tit QuinQuin!

 

Dans la vie des faire valoir,
et perdue perdante éperdue,
en partance et repentance,
appétissante,
Violaine Danielle,
vieille veille et s’envole.
Pari pourri parti,
Ricane et rien n’engrange,
Qu’un poème hilarant
Mais pas marrant,
Qui ne rime à rien
Mais comble la hantise du vide.Traîne la patte et part en train,
D’un train- trin quotidien
Dring- dring et drôle de graine !



danielle jacqui

 

J.P Henry Hommage de la modeste collection, merci Gérard.


 

A toi de voir! pour le vert, c'est gagné!

J'ai réalisé la tentative à laquelle j'avais pensé ce matin, mais cela m'a finalement paru trop fragile à l'enfournement.
J'en ai fait un carreau de rocaille.
Mais je poursuis l'idée, je ne laisse jamais tomber!






Pour le vert c'est gagné!
Le vert réalisé en fond de la dernière pièce sortie de four ce matin est extra.
Dommage, je n'ai pas noté ma formule!
Mais je m'applique à la retrouver!
Bien entendu lorsque je reviens de Nice je ne cesse de rêver au vert et au rouge de J. Coville.
J'ai dans la tête une grosse pièce très vert acide.
Ce ne sont pas des pièces séparées que je réalise, c'est un ensemble colossal qui doit se présenter comme un immense tableau.
Avec des oppositions de couleur qui devront saisir! C'est pourquoi, j'ai besoin de pièces à coloris fort à dominante unifiée.
Aussi bien dans le rouge, que dans le vert et pourquoi non à base de blanc pur et de blanc "jaune Naplé" voir de noir.
Essais demain de "titane et aussi oxyde de nickel.
Si vous avez des idées là-dessus, je suis toute ouïe, n'est-ce pas Zoé?!
Ne pas oublier toutefois que je travaille en haute température.







Michele si vous me lisez de dire à Djemma que j'attends ses images.
Je vous embrasse, Michèle.
danielle.

 

Madame Yvonne Robert parrainnée par notre ami Gérard....en la "modeste; collection.

Que du bonheur!




 

Je montrais ma fresque en cours à Claire hier après-midi et je tentais d'expliquer, que j'étais capable de la briser en projetant un pot de noir par-dessus afin d'intervenir sur cette salissure qui brisait le dessin initial tout en le laissant transparaître.

Il est 7h39. je veux partir de bonne heure pour avoir une grande matinée.
Plus je regarde mon montage actuel, et plus je pense qu'il faut le perturber, le déstructurer.
Réaliser des sortes de branchages qui passeraient au-dessus des motifs plats, comme pour organiser une forêt vierge qui aurait tenté d'envahir les vestiges d'une civilisation ordonnée.
C'est réalisable, mais les carreaux assiettes mesurent 0,40 et dans sa plus grande dimension mon four n'a que 0,70 cm de hauteur.
Il faut donc embrancher les surmontages sur deux surfaces ne dépassant pas 0,15 cm de chacune.
Peut-être faudra-t-il être très futé pour me comprendre, mais une fois réalisé, si je m'en sors, ce sera plus compréhensible.
En avant l'expérience et la recherche.
Je réponds ainsi à celles et ceux qui demandent toujours si c'est réalisé en direct ou si cela est pensé avant.
Dans le cas présent il y a deux ou trois jours que cette expérience désirée prend forme dans mon cerveau.
Ce petit échantillon d'installation dans mon atelier bien entendu fait germer les idées.
C'est une raison essentielle de la nécessite de ne pas me couper du champ visuel de mes pièces et de trouver un peu d'espace pour que je puisse installer plusieurs propositions.
La phase pure de fabrication des pièces constitutives "la décharge", n'est certes pas terminée, mais nous entrons dans la phase de montage.




17.11.09

 

réalisation en cours: murs et plafond dans la chambre.

Tu vois Marie.
Je grimpe sur la table, pour la hauteur de mur cela fonctionne très bien.
Pour atteindre le plafond c'est une autre histoire.
J'ai dû mettre une caisse sur la table, mais je suis obligée de me faire aider pour redescendre.
en bordure de mur cela va tout seul, car j'ai de quoi me tenir.
Mais si je veux aller en centre de plafond, c'est une autre histoire.
Soit j'achète ou je loue une échelle échafaudage avec rambarde, soit on équipe la table avec un rambarde solide fabriquée pour l'occasion.
Quand je pense dans quelles conditions d'équilibriste j'avais réalisé mon premier plafond!
Je ne me reconnais pas.
Mais je ne veux courir aucun risque.
Reste la solution d'équiper un manche long terminé par un pinceau. J'y pense aussi..
Je ne sais pourquoi, j'ai surnommé Titin, le personnage qui plafonne, il semble se moquer de moi.
Quand je me couche il est en face de moi, et semble "rigoler" de toutes mes tragi-rigolades.



je verrai si je laisse ainsi, ou bien si j'appesantis, brode, ourle, hurle, vire-volte, tracasse, surcharge,triture, endure, bordure, surligne, souligne!


Le personnage en dessous est la réplique visagée de cet Ange ou démon intérieur que j'avais appelé naguère "mon terrible".
Non pas au sens de terreur, mais parce que c'est comme une empreinte qui m'habite et qui apparaît dans mes oeuvres, surtout si je ne vais pas la chercher, tout le temps.
C'est mon "babouchka" initial, une sorte d'auto portrait symbole, dans lequel aussi bien je m'aperçois mais j'aperçois aussi ma mère.
Pourquoi ma mère et pas mon père?
et puis un jour, regardant la tapisserie que je préfère, réalisée par ma mére, "le personnage à l'arum" j'ai découvert "le Terrible" dans son oeuvre.
Il n'était plus le mien propre mais aussi le sien.
Cela m'avait renversée.
Etais-je bien moi-même?
Ou étions-nous traversées par une cible qui nous dépasse et fait de nous un vrai continuum..
La cible éssentielle qui fait de nous une production en série pré dirigée pour où nous sommes prédestinés de devoir aller.
Ne pas se laisser faire, se laisser conduire, prendre un regard et une énergie pour se trouver soi-même.
La première des rebellions que nous devons conduire serait-elle donc, une auto-défense contre l'ineluctable?
Le terrible est-il génétique?


17 novembre 2009 Br…….Gr…………….dr.
Bronze
Gris
Droit dort dîne, et dis-leur ta façon de penser sans te laisser démonter.

 

Mes demandes de rendez-vous.

Merci à J-P. N.
de réaliser la réunion de la "Compagnie d'art singulier aux fins d'avancement de préparation du prochain festival.
Aux fins d'étude de la proposition De T.A. pour la convention danielle jacqui en 2010 au sujet de "la résidence d'artiste.
C'est urgent.
Merci à Marielle, Roger et et Serge de passer aux fins de continuer le travail comité artistique.
Merci à F. de se rappeler notre dernier rendez-vous et ma demande de rencontre avec R.A. + F + J.P + G.
Je pars travailler, malgré les vicissitudes et les choses désagréables qui devraient plutôt m'être évitées, car non seulement cela gêne ma création, mais en plus risque de me faire renoncer, ce qui serait dommage après tant et tant d'efforts.
Il y a des façons de formuler les choses!
Mais il est vrai que ma grand-mère Blanche avait fini clocharde, et que je suis toujours habitée par le syndrome de "la Commandante d'Ekeby", y me concernant!
Merci enfin, F, de te rappeler ma demande au sujet de l'accueil de la "doctorante" à la fin du mois.
Besoin de rencontrer D.P. avec F. et J.P et G.

16.11.09

 






 
Cher R.A.
Avez-vous reçu mon courrier réponse à votre message?
Merci de bien vouloir me le faire savoir.
Nous avons besoin de faire un point.
Merci.
danielle.

15.11.09

 

repousser la frontière!

C'était un peu comme si cela était en dehors de moi!
Comme si je n'étais pas la protagoniste de ces créations.
Cela ressemblait à de l'ART!
Franchement, je me suis trouvée ensurprisée, lorsque j'ai aperçu cette installation!.
Etait-ce un bien, était-ce un mal?
Sans doute ai-je ainsi créé, l'évènement "abouti" ou aboutissement.
Ce à quoi tout artiste rêve de réussir un jour!
Si je n'étais pas impliquée si directement, et que j'entrasse innocemment dans la galerie et découvrisse les oeuvres, quelle serait ma réaction?
Aimerais-je ou bien trouverais-je tout cela "art sophistiqué", comme il m'arrive si souvent de le penser lorsque je vois des oeuvres abouties.
Grâce à mes amis Gérard et Marlène et leurs amis de Falicon, cette performance a lieu, et je les remercie..
Vous me croirez ou non, mais je ne me suis jamais prise pour une "artiste" au sens où l'on entend cela ordinairement.!
Autant je me bats pour qu'il n'y ait jamais de connotation réductrice, autant je me sens la "femme des champs" en réalité.
.................Vous allez laisser une trace n'arrêtait pas de me dire "Bertrand" l'ami de Gérard, en signe d'admiration pour ce travail!
Pour un peu je me serais mise à le croire!
Heureusement, (je ne veux pas donner dans la fausse modestie) j'ai les pieds sur la terre!
Je suis sûre que l'on entre ensuite, dans l'empilement de tout et que tout finit par s'éffacer.
J'étais singulière, brouillon, champêtre, avec des créations en dents de scie.
Dans tous les sens.
Mes expositions étaient belles et remportaient toujours un certain succès, mais cela n'avait rien de "professionnel".
Des empilements, des juxtapositions, des imperfections qui pouvaient aller jusqu'au génial, et se laisser aller aussi et surtout, en une généreuse anarchie
d'imperfections des finitions.
Ici c'est presque trop parfait.
(j'ai envie de me traiter de menteuse, pardi, j'étais si satisfaite!)
Gé&rard a ac croché royalement et puis FR et J-CH, m'avaient tellement aidé au niveau des encadrements.
En fait je n'avais jamais pu produire une telle présentation.
Trop parfait n'est pas le mot donc, et je ne vais pas cracher dans ma soupe.
Cette soupe-là, est le fruit d'une telle quantité de travail intensif, que même en le supposant, on est encore loin de la réalité.
Mais je m'adonnais chez Gérard au plaisir de découvrir les peintures de "Yvonne Robert", par exemple, et je sais qu'il est malgré tout, plus facile d'aller vers la virtuosité, c'est une question de forme et d'entraînement, que de pouvoir garder son innocence et sa forme première.
L'expression initiale, dans laquelle comme dans un miroir au mercure, d'autrefois on peut apercevoir son reflet immédiat et en profondeur.
François m'a reproché de n'avoir pas passé une seconde couche de blanc sur les encadrements de bois.
Je ne sais pas................ On en saura plus dans quelques jours.
Merci à mes amis, merci à celles et ceux nombreux qui sont venus jusque sur les hauteurs merveilleuses du charmant village de Falicon.
Je vais saluer ici, cette gentille et charmante dame du nom de Sophie.
La performance, la performante, c'est elle!

Lorsque je me mettrai à penser, comme cela m'arrive, que, après mon actuel chantier, j'arrêterai, je penserai à elle!
Et je l'espère serai capable de repoussser les frontières.
Bien sûr que nous serons ensemble, Sophie, lors de l'inauguration du "colossal" en 2012 ou 13.


PS
J'ai adoré les conversations avec différents acteurs culturels de cette région que j'adore, puisque j'en suis native.
Merci à tous.

14.11.09

 

Le plafond de ma chambre est ZEN, plus pour longtemps (affaire à suivre)!

Tu m’en parles « ma romantique », (si tu te reconnais, mon poème est pour toi)
Tu chuchotes
À mon oreille que t’aimerais bien saisir le secret.
Le secret de la « vieille au bois dormant ».
Ainsi je sais, que le but est atteint.
Ce n’est pas un journal,
C’est un roman!................
Même de gare !..................
Peu m’importe,
Çà vaut le coup !
Il n’y a aucun mystère,
Seulement une bonne femme en bout de course,
Mais quelle course!
Une bonne femme,
À la dizaine,
Comme toi,
Comme nous,
Toutes,
Avec chacune au fond du cœur,
Un roman au goût de bonbon.
Un roman qui ne finira qu’avec nous.
Des fois c’est ainsi,
Cela arrive, »Le Merveilleux »
……..Mais ,
Pour te répondre,
« Danielle Outland »,
C’était hier.
« Autre fois »!
Pourtant,
L’est passé,
Juste passé,
Y’à pas longtemps,
Toujours présent,
« Mon Roman ! »
Et je sais que j’ai eu quinze ans,
Que j’ai encore quinze ans,
Et que j’aurai quinze ans jusqu’à mon dernier jour !
Comme toi, ma belle, Comme nous,
Toutes !

12.11.09

 

demain soir à Falicon!

Si tant et tout trop tôt et si tard.
Par-deçà et par- delà,
Ici et ailleurs aussi.
Si bien et si mal ne sont que les abréviations de médiocre.
J’aime!
Ou je n’aime pas!
Je reçois un choc!
Je suis choqué est encore mieux!
Puisque rien n’est pire que l’indifférence.



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