29.11.07

 

les nouvelles pistes de danielle jacqui en art singulier

0003 LES NEUVES PISTES DE DANIELLE JACQUI EN ART SINGULIER.

0003 Les neuves pistes danielle jacqui en art singulier
l’AVENTURE DE LA GOUIRE
(Résidence 2)
JEUDI 29 NOVEMBRE 2007
Réaliser une œuvre sublime est un vœu pieux.
On tente de se détendre, de trouver l’état parfait de mise en création, et plus on veut et moins on peut.
Il faut se résigner à n’être qu’ordinaire.
Ordinaire à soi-même.
L’étincelle n’est pas évidente et il vaut mieux miser sur la sincérité.
J’ai réalisé une grande pièce, et j’ai adapté ma main gauche. Je vais y arriver, c’est sûr.
Mon poignet est comme soudé à la main.
Je prends des précautions pour lui imposer les rotations au gré de la terre.
Je malaxe de l’argile en boule dans le creux de la main, je roule la terre.
Mais au lendemain du premier jour d’argile, je peux de nouveau sans problème taper sur le clavier de l’ordinateur avec les deux mains, c’est formidable.

Je souffre de la solitude en ce lieu en soi providentiel, mais nouveau et austère. Le décalage de situation avec les ATN, est trop grand.
D’angoisse, j’ai pleuré.
Ma création a des nécessités capricieuses, et j’ai besoin de cette solitude comme, d’un « entourement » et de la rencontre des autres.
Ne cherchez pas à me juger, cela a l’air d’un caprice, mais il n’en n’est rien.
Le processus créatif, est dans ses propres méandres de conditions.
J’avais trouvé aux ATN, cette communication avec le public, l’échange, le débat, les enthousiasmes et les réticences avancées, tout cela me faisait vivre.
Le début est difficile, mais je saurai m’adapter, et vous m’appellerez sur le portable afin que je puisse vous dire où, et quand venir me voir en Atelier..
Je réglerai mes horaires de coupures par intervalles de 2h par exemple.

« Novembre » est passé et presque dépassé sans que je l’ai vu passer, et même si « Décembre » vient s’emboîter, je suis boiteuse et mon « moi » est usé par ce mois manqué.
Merci ma Claire jolie, pour les références du livre des recettes, recherché.
Hier soir, nous avons eu la première réunion sérieuse pour le Festival International d’Art Singulier, prochain.
Ma préoccupation est: pouvoir nous déplacer, dans les contrées reculées de la ville ou de la campagne, s’il le faut à la découverte des aborigènes vrais singuliers de l’art! Aidez-nous, signalez-moi vos informations sur le sujet.
Si vous voulez me faire plaisir, envoyez-moi des courriers décorés ou des dessins, ou des tentures sur le thème du voyage, des gares, des trains, qui seront exposes dans mon Atelier.
Signalez-moi, tout ce que vous connaissez, comme travaux, et démarches artistiques concernant ce sujet. Merci.

 

jeudi 29 novembre 2007


28.11.07

 

mercredi 28 novembre 2007

0002 l’Aventure de la Gouire
Mercredi 28 novembre 2008

Juste fait une apparition dans l’Atelier à investir, hier après-midi.
J’ai demandé à François de bien vouloir m’aider à découper 3 pains de 5,8 (grés chamotté) et de m’en faire des lames de 2,05 d’épaisseur.
J’ai placé ces lames superposées entre du plastique en les mouillant abondamment, préalablement.
Je pourrai ensuite commencer un travail à l’aise avec une terre facile à travailler.
Danielle : droit à l’à peu près : zéro!
Chaque pièce devra être Terrible!
Comment faire?!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
(chez moi, le mot Terrible, a une signification subliminale et pas horrible.)
J’ai besoin de sortir des cartons, les biscuits non émaillés pour les mettre en couleur et les cuire à haute température dès que le four sera en fonction.
J’ai besoin aussi de pouvoir sortir des cartons une des structures. Il me faudra l’étaler et la présenter sur une table, afin de pouvoir prendre les empreintes nécessaires à la réalisation des pièces intermédiaires, constitutives et complémentaires de l’ensemble.

J’ai découpé un pain de grès fin, mouillé quelque temps avant car, il avait durci.
Mais le mouillage n’avait pas suffit et la pâte était encore dure.
J’ai voulu travailler avec et contrôler l’état de ma main gauche.
J’ai travaillé sans complaisance pour mon poignet blessé à reconstituer, mais avec précaution.
J’ai laissé la main gauche accomplir les tâches qui lui incombaient, sans faire appel à la paresse qui aurait justifié le secours ou le remplacement par la main droite.
Mais j’ai accompli cela en prenant des précautions, en ne forçant pas.
En respectant cette sorte de déontologie rééducatrice, je pense obtenir un excellent résultat sous quinzaine.
Hier soir Alain K m’a appelé au téléphone , et nous avons parlé du prochain festival d’Art Singulier.
Il m’a parlé d’un livre écrit en espagnol par Artigas et qui serait le meilleur à propos des recettes chimiques pour les émaux.
Il paraît que l’on ne trouve plus ce livre.
Qui pourrait m’aider à ce sujet.

27.11.07

 

mardi 27 novembre 23007

0001 L’AVENTURE DE LA GOUIRE. R2
Lundi 26 novembre 2007

J’entre ici, dans la deuxième phase de « la monumentale » réalisation.
Je suis en poursuite grâce à vous tous.

Une averse surprise et automnale est tombée,
Et,
La façade de La Maison de celle qui peint,
S’est lavée.

Dans la boule de cristal,
J’ai vu le temps, marcher à l’envers,
Et tristement j’ai constaté.
J’ai vu, des guirlandes « fadasses »,
Et la fête mièvre et sans pêche.
Non compromettantes et,
Ne dérangeant personne,
Les musiques répertoriées,
Marquaient l’instant revenu.
Le Roi d’un cirque trônait au-dessus de ses palissades,
Couronné d’un grand chapeau triste,
Et sans s’en douter, prétentieux.
Du haut de la courge, et du carrosse de conte de fée,
Le béant-usé,
Des souliers pointus de la sorcière,
Mère nourricière,
Souriait à la souris sortie de la souricière,
Où se cachait maladivement l’abusif obsédé de la « Broussière ».
Et assise sur la boudrière,
J’attendais sans l’atteindre,
L’explosif qui exploserait l’exploratrice dévergondée,
Qui osait sans pâlir affronter « l’enfrogné »,
Du trognon de pomme,
De ce Nom de Doux,
Qui enfilera ses perles enfiellées, d’envolé,
Où il voudra, sauf sur mon cou déjà chargé de copieurs-copiés- collés
Je suis un chercheur.
Une tâchée à la tâche tâchant de « Trouver »………………………………L’inventivité!
Et c’est sans recette, ni à appliquer, ni à distribuer.


Que soient remerciés ceux qui m’aident.
Ceux qui comprennent qu’il n’est plus temps à ma montre, de donner « du temps au temps ».
Pardon, si, croyant à l’esprit du bien,
Je contreviens, gentiment.
Ainsi reviennent mes habitudes,
Mes attitudes.

Mais Ô ma FORCE où es-tu donc passée?
À force de ré- freiner mes attitudes habituelles, histoire de demeurer sage,
Ne suis-je pas justement entrain de perdre un peu ma figure.
L’artiste singulier n’est pas celui qui joue au béni oui- oui,
Devant la Basse Cour de ceux, qui cherchent le grade, et la sacralisation de leur pseudo- science en art b et s,
Sur le wob spécialisé, où ils tentent de s’auto proclamer en savoir, en se prenant pour les spécialistes, philosophes et intellectuels, de ces choses.
Dans l’atmosphère deleatur de leurs affirmations immodestes, le cœur est soulevé, de méfiance et de rejet.
Je ne m’en reconnais pas.
Mais il est vrai que l’art- b ou s est d’abord naïf et natif, et se pratique dans la solitude et la marginalité, et que dès qu’il est un peu reconnu, il doit de « tirer » ailleurs plus loin, sous peine d’y perdre sa vigueur.
Les singuliers ne parlent pas, ce n’est pas leur fait usuel, trop occupés à leur besogne.
Mais il est temps que surgisse la relève intellectuelle.
.
Danielle.

23.11.07

 

vendredi 23 novembre 2007

Bonjour.

En installation toujours, je n'ai pas repris les créations céramiques, lais cela ne saurait tarder.
Je vous embrasse tous.
A demain. Danielle.

20.11.07

 

mardi 20 novembre 2007

0002 AUBAGNE JACQUI RESIDENCE 2

Mardi 20 novembre 2007

A bientôt.

14.11.07

 

mercredi 14 novembre 2007

AUBAGNE RESIDENCE 2……………….. 0001

Le Four, est à présent installé dans mon nouveau site d’Atelier en Résidence d’Artiste, toujours sur la bonne voie, même si pour me trouver, vous allez d’un premier temps, vous livrer, semble-t-il à un jeu de piste, soit en me demandant par e mail les coordonnées, soit en passant par La Maison de celle qui Peint où vous pourrez trouver toutes les indications.
Demain en principe mon bras sera libéré de la gaine de résine qui lui aura permis de se rétablir, et à partir de lundi, je me rééduque dans l’argile.
Je tiens ici à remercier ceux qui me font confiance en toute conscience de tous les paramètres.
Je ferai tout ce qui sera en mes capacités pour mériter cette confiance.
Le temps des indécisions est révolu, pour ce qui me concerne.
« Prends ton rêve dans ta main chère Alice…. » Pardon Danielle,
Et conduits-le, jusqu’où il doit aller!
Jusque dans les mains de ceux qui sauront en assurer le Devenir!

12.11.07

 

lundi 12 novembre 2007

Dimanche 11 novembre 2007
Le JEUNE, entre dans ses sixties.
Bon anniversaire.
Il croît devenir vieux, alors que je sais cela si jeune encore;
Tout est question de proportion par rapport à tant de paramètres que l’on ne sait plus comment s’en mesurer.
Je désespérais au bout de ce » dimanche après-midi, triste et long, loin de mes chers travaux, le nez écrasé contre ma fenêtre, à dévisager la rue dans la nuit, lorsque je l’ai aperçue, elle, que je ne voyais plus depuis longtemps.
Sans doute parce que, absente tout le temps j’ai perdu le sens des actualités sur la traversée de mon Pont.
Elle marchait d’un pas saccadé, un bâton d’une main, s’accrochant de jardinière en jardinière et visiblement en très précaire situation.
Je l’ai suivi du regard un moment, et je l’ai vue tâtonner la chaussée avec son bâton, pour tenter de traverser, l’endroit le plus dangereux du carrefour.
Je la connais depuis fort longtemps cette dame.
Je l’ai vue, elle, mais je me suis vue, moi aussi, dans quelque temps si je n’y prends garde.
Et j’ai eu mal pour nous deux, cela m’a fait pleurer.
J’ai traversé la route et je suis allée la rejoindre et la raccompagner.
C’est tout juste si elle m’a reconnue.
Nous avons longé la bordure de chaussée tout un kilomètre, éblouies par les incessants éclairages des voiTures.
Cette prestation était un peu dangereuse pour moi aussi car il n’y a pas de trottoir ni d’éclairage en cet endroit.
Mais il faisait bon, il y avait des néfliers fleuris qui exhalaient leur parfum, et il fallait se baisser pour éviter les branches.
Je me suis dit au retour que je confiais mon sort au destin.
Si un véhicule m’avait accroché personne n’aurait su ce que je faisais là, seule dans la nuit au bord de la grand-route.
Et ce mystère, ne me déplaisait pas.
Si réellement « LA Guetteuse » me cherchait, là, elle pouvait m’attraper!
Je rentrais d’un pas léger et solide et je me réconfortais en pensant que je n’étais pas encore au bout du chemin!
J’avais un beau et grand programme devant moi, et je n’allais pas succomber à la déprime!
Courage Danielle, me disais-je, comme pour me rassurer!
Sur mon chemin l’est une « Gouire » jolie, lonlaire, lon là!
Un projet rêvé, un rêve de projet, plus qu’un rêve et déjà mieux qu’un projet.
Une fiction organisée, bâtie d’un solide travail.

9.11.07

 

vendredi 9 novembre 2007

000234 ATN jeudi 8 novembre 2007


Je ne dis rien, mais je suis ahurie!
EUX, sont surprenants et tant et tant qu’il faudra bien que je sois suffisamment ahurissante pour pouvoir les mériter tous.
Chaque fois que je tente de lâcher prise, de penser que je suis fatiguée, ils sont là, ils me font confiance, et ils sont trop! et trop!
Trop beau, trop « nice », trop jeunes, si tout à la fois qu’ils me retournent le cœur d’amour.
Mes tous beaux je vous aime!
Vous avez le droit d’être logiques, raisonnables, rationnels.
Je suis là, pour savoir dépasser tout cela, et aller jusqu’au bout du possible.
Il me faut la rêver en folie ma gouire de gloire, si je veux vous mériter et mériter tous vos efforts..
La dessiner tordue et dans toutes les dimensions, lui peinturlurer les tuiles en fluo, la faire grandir, rapetisser, l’élargir et tour à tour, la faire rire et pleurer.
Et si les fenêtres sans volets font des trous noirs sur la photo, il faut mettre des gens ou des fleurs à l’intérieur.
Fleurs de Pierre, fleurs de verre, fleurs De neige et fleurs de tous les printemps et de NoËl aussi, et fleur de François, et de Karine, et de Daniel et Murielle,, et fleur fleurie d’Antoine.
danielle se la refera sa « Foire », avec sa new brocante, et des manteaux rajeunis pour se la tricher sa vie, encore un peu.

Peut-être en suivant les pierres du Petit Poucet Ghislaine trouvera le chemin, et Claire aussi, avec Marie France.
Et on se la dansera notre sardane, avec nos pieds.
On se les fera nos grands châles fleuris et nos jupes à grands volants!
Et clip et clap, j’ai gagné le bonheur au loto de la vie!
Docteur tu me rendras mes mains bientôt enfin, et elles vont mettre les bouchées doubles.
Je les vois déjà mes futures avancées…………
Oui je dois vous mériter, tous.

8.11.07

 

Jeudi 8 Novembre




7.11.07

 

mercredi 7 novembre 2007

Ils avaient mis des gouttes dans mes yeux, pour voir si, ils ne s’étaient pas décollé.
Pendant deux heures, j’avais vu la vie en trouble, en tremble , en trouille et j’avais pris, sur le quai de la Gouire, un trOUn bizarre qui m’avait enlevé jusqu’en 20.027.
Ils ne voulaient pas forcément ma mort, peut-être même pensaient-ils ainsi me sauver, mais il fallait que je devienne invisible.
Une dame sortait dans le couloir à colle et coulait jusque vers moi, une petite lumière qu’elle promenait devant mon œil à l’orbite désintégré et enlarmoyé.
Elle surveillait ainsi, la progression de ma disparition.
Bien sûr à force de vouloir m’effacer, je m’étais diluée, désagrégée.
Ils m’avaient tous oublié enfin, et j’avais tout oublié aussi.
Je n’étais donc pas atterrée, mais éthérée.
Sauf que certains soirs de pleine lune, je grimpais sur mes chimères.
À croire que la mémoire n’en faisait qu’à sa tête.
Je me les fabriquais, ces fantasques visions toujours renouvelées, ce qui me tenait en état d’addiction et de dépendance à une monumentale construction (DE PURE FICTION) ???!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sur laquelle venait au fur et à mesure s’ajouter les créations et les corrections.
Dans la loupe loupée de mes yeux, je me les « enfollaient » de suggestions envoilées et envolées d’un blanc si brillant qu’il fallait plisser le regard pour en soutenir l’éclat.
Dans un vent de folie pour faire plaisir aux fous du quartier, aux étrangers de passage et même à ceux venus exprès en express, pour essayer de m’apercevoir juchée sur les sommets de mes rêves!
La Gouire m’aimait d’un si fol amour qu’elle ne cessait de m’appeler comme on appelait la petite chèvre du conte, « Reviens, reviens!.
Mais semblable à la « Vouivre », je ne sortais qu’à bon vouloir.
Quelques-uns de mes chauds partisans tombaient en catalepsie, et proféraient des incantations pour retrouver les images perdues.
On trouvait même le plus sérieusement du monde une « mère Bubu » vendeuse spécialisée de toutes mes images en couronnées de passé et du passé.
Il paraît que ce commerce était prospère.

L’enfer des morts ressemble au Paradis comparé aux Tourments de la vie terrestre, et il n’était de pire sourde que celle qui ne voulait pas entendre.
Dans la troisième dimension, on ne conjuguait pas entendre mais attendre!

A « Poundellastar »mes ongles cassés en travaillant avaient poussé comme des griffes et fini par s’enraciner quelque part dans la terre du jardin.
Ils avaient poussé tant et tant qu’ils avaient traversé en dessous la maison, jusqu’à sortir dans la rue.
Heureusement les mauvais coucheurs ne savaient pas que mes restes hantaient encore le quartier, et essayaient de soulever La Maison, pour l’emmener « ailleurs, plus loin » , sans cela ils continueraient de me vouer aux gémonies.
Mes cheveux coupés, jadis enterrés dans le jardin, étaient devenus si blancs et si longs qu’ils ressemblaient à la queue d’une comète.
Mais au printemps ils s’envolaient avec le vent comme les anges………………
Dans une belle aventure.

5.11.07

 

Lundi 5 Novembre


Les mois longs, sont devenus lents.

Et je demeure sur mes délires créatifs en état d’anorexie.

Les ogres ont les dents sciées,

Et l’ Ogresse ne sait plus préparer leurs déjeuners.

Impossible le piment dans mes sauces,

Sauf à la Maison où je ne me prive pas.

Si longs et si lents ces jours derniers,

Dans mon atelier, qui ne le sera bientôt plus,

Déménagée et désorganisée,

Roulée, rouillée et même décolorée,

J’ai l’air vieillasse, blondasse, mollasse;

Un bras rageur soutenant l’autre immobilisé.

Savamment bousculé, l’ordre dans mon désordre,

Brouille mes pistes, sans que je sois certaine de pouvoir les retrouver.

Mais Vulcain continue les dernières cuissons,

Et l’espoir me fait croire en Dieu ET EN LES GENS, du Renouveau et de tous les recommencements.

Je ne suis pas si faible, ni si laide,

Et je rebondirai même si,

RIEN N’EST PLUS DIFFICILE QUE CE DEMENAGEMENT!

Mais, attendre n’attend plus rien,

Même si je sais qu’il me faudra mériter,

Et transcender tous les encaissements et tous les chavirements.

Déboussolée de tous les côtés,

Sans oser en parler,

Pas sûre de savoir retrouver le fil de l’histoire,

Incertaine de pouvoir y croire.

Seule issue de survie: continuer! En avant toutes!

usuellement, Ils étaient pourtant heureux mes novembre en printemps !

De ce temps-là, les prés reverdissaient,

À la contre-saison, en couleur d’espérance,

Et Tendre,

Était si,

Tendresse-Soupirance-Espèrance- Croyance,

Qu’à l’heure des retours,

L’allégeance au bonheur était la règle,

Et que d’avant en avant,

J’avançais, ( dépassant mes peurs)

J’ai vu Marie pourtant, ce matin, comme avant,

Elle a gardé sa beauté vraie.

Mais à présent,

Les jours comptent, et s’habillent en livrée "héros de tartufferie",

Assorties de nœud papillon.

Tous les doublés se décomptent, et se moquent.

Dans la saga interrompue, pourrait rapetisser ma certitude.

Ainsi s’embrouillent les écheveaux incertains des directions.

Les saveurs s’égarent, les senteurs s’éventent, et ne s’inventent plus.

Les dramaturgies pour jamais conservées, finissent par m’échapper,

Jusqu’à rendre les copies effacées,Sur vélin vierge recyclé.

HEUREUSEMENT IL Y A Karine et François

Ö merci vous deux, mes héros de l’emballa ge et du comptage certificateur, vous m’emballez.

Karine « pure merveille », tu es formidable!




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