4.10.10

 

toujours impossible d'importer des images!

Toujours impossible d'importer des images.
pourtant j'avais photographié la soupe de poissons et les poissons eux-mêmes.
Et aussi la mer assez tempêtueuse.
Et aussi l'ascenceur de La Seyne sur Mer.
Et aussi le lieu au sujet duquel se jettent les bases d'une éventuelle prochaine utopie.
J'ai aussi lu le n° spécial sur l'art brut produit par notre célèbre revue habituelle!
Les poncifs de l'art brut......
Je n'ai rien à ajouter, sauf que:
Si je ne me mêle pas de cela, il est normal que je réagisse lorsque l'on s'exprime sur l'art singulier aussi bien que "dit: singulier"!
D'abord il doit être entendu: nous sommes ici fondateurs du genre: "festival d'art singulier."
Et si j'ai bien entendu, les commentaires des visiteurs et des artistes, notre festival ne se dément pas et obtient label de qualité grande!
Je me demande alors pourquoi on oublie de le citer.
Il n'en demeure pas moins aussi, que celles et ceux qui auraient matière à s'exprimer sur le genre "singuliers de l'art" et "art singulier" devraient en être les protagonistes.
Mais on ne nous donne bien entendu pas la parole.
On trouve dans ce condensé, et à ce sujet, à boire et à manger, ce qui contribue plutôt, à désservir, et à sous-évaluer!.
Le seul qui ose pousser le cri d'Indien est Luis!
Pour moi, qui suis à présent en totale ORGANuGAMMIE,je ne me sens plus directement concernée, et je pourrais laisser passer la caravane!
Mais enfin tout de même.
Je pense que l'art brut est avant tout, une flèche directionnelle qui par le biais justement de l'art singulier et autres définitions a mis les pendules à l'heure pour favoriser un espace de création qui était jusque-là obstrué par l'art conventionnel et officiel.
Qu'il puisse s'y trouver plus d'appelés que d'élus est un autre problème. Mais en attendant l'espace ouvert génère des aventures artistiques, et du travail en création ou en déclinaison qui n'est pas négligeable.
Qui plus est, plus important encore est l'aventure de vie.
Des gens se rapprochent, se parlent, communiquent et aussi communient au travers de ce grand nouveau champ dans la contemporannéïté artistique.
Nous regrettons de ne plus avoir notre revue à nous: "bulletin des amis de François Ozenda" dans laquelle chacun, chacune pouvait s'exprimer.
Il serait grave de laisser le champ à un petit groupe de spécialistes mêmes distingués et respectés intellectuels ou collectionneurs ou marchands.
Notre forme d'expression est issue de "populaire".
Notre espace est un espace de liberté.
Nous n'avons aucun désir de laissert le système se réinstaller par le biais de ces définisseurs installés à présent.
danielle

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