17.10.10

 

Ce matin il fait doux dehors !


J’ai pris un café délicieux avec délice.

Quoique, j’adorais le café partagé.

Je me sens très punie en l’occurrence.

Il m’arrivait de secouer « l’autre » à quatre h. du mat et de lui dire stp. Viens prendre le café avec moi, tu te recoucheras ensuite. Et il le faisait.

Ce m’était un bonheur !

Peut-être Que je ne le lui ai pas assez dit !

C’était la condition idéale pour que je sache obstinément ensuite me remettre au travail.

Il y avait tout ! L’odeur du café qui coule, les grandes tasses le sucre, et la force de l’affection.

Cela me fait pleurer encore d’évoquer cela.

Heureusement il faut enclencher les journées sans se prélasser, et je dois sortir ma voiture du garage avant le flux de circulation, donc sortir, et l’air frais du matin est régénérateur !

Je vais essayer de "tirer" mon dimanche.

Pas de problème pour ce matin je suis à l’atelier.

J’irai un peu plus tard car j’y suis enfermée le dimanche et c’est bien languissant.

Aucune issue pour que quelqu’un puisse venir me voir !

Mais chance à moi, je sors deux cuissons haute température dont la cocotte.

Je voulais la passer à l’or mais je n’ai pas eu le courage d’aller chercher le nécessaire.

Nous verrons demain matin.

En fait je vais  faire un rajout à 810°  de couleurs  cuivrées en basse température.

La première cuisson dite biscuit nous sommes à 980°.
 la deuxième cuisson en haute température est à 1.265°.
 La possible troisième cuisson est en basse température à 810° , mais on pourrait imaginer d’autres scénarios par exemple 980 ou 1020 etc…. à ce niveau il n’y a que l’émaillage qui change.
L’or,  cuit à 770°
J’ai regarni ma voiture en fuel, ce qui est ridicule je pense, mais il vaut mieux tenir que courir.
Encore que, le sentiment de protèger son confort en prenant quelques précautions, ne doive pas à mon sens prévaloir sur la gravité de la situation actuelle, et que je suis en parfait accord avec celles et ceux qui sont en lutte pour défendre les choses essentielles qui avaient été gagnées de haute lutte par nos parents.
J’ai bien avancé la première version de la première partie de mon « nouveau roman ».
L’aventure, est un tout ! Et il n’y a pas de vrai bonheur sans les heurs et malheurs de l’aventure !
Il est difficile de séparer sa relation sentimentale de l’aventure dans son entier.
Parce que tout a relation de cause à effet, et parce que c’est réellement indissociable, sauf qu’à la fin, sans doute l’aventure bouffe trop l’autre, qui s’y sentant mal à l’aise s’en retire !
Pas d’autre explication valable !
Et que l’actrice se trouve en ORGANuGAMMIE totale.
Mariée avec l’aventure : « Danielle » la femme sans homme !
Mais si je réunis tout, ce n’est plus un roman feuilleton cela devient un roman fleuve !
D’où le problème !
Qui plus est, si j’ajoute l’aventure au roman lui-même, les lecteurs s’il y en a, bondiront en me disant que l’intérêt à leurs yeux réside dans l’aventure tandis que le roman est subsidiaire !
Et je pense qu’il y a trois choses inséparables l’aventure le roman et le roman propre de « l’autre » parce que je l’ai tellement vécu et entendu qu’il est un peu devenu le mien !

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