8.6.10

 
8.6.10

Exercice.

La roue blues,
Blouse en boucle, et,
s’endort parfois,
Et le roi au coup de cœur,
Oublie le drâme de Pic.
Piquantes sont les roses affadies,
aux épines forcies sous le soleil d’été.
Au jardin d’hiver- envers,
L’enfant roiraierêve,
Du poisson magique,
Dont la nageoire brillante,
Scintille d’éclaboussures.
Fa la fa ré, si je peux,
Si je sais,
Cela fera sujet,
D’un prochain tableau.
Table de magie,
Lunette d’extra-voyant
Voici venu l’instant du retour d’été,
Aujourd’hui, demain ou peut-être jamais.
La marguerite effeuillée affirme pourtant,
Qu’il en sera ainsi,
Jusques aux fins.
Monte et descend,
Monte baisse,
Patte blessée qui fait boiter,
l'échevelé.
La tour cassée n’en finit pas de s’écrouler,
et les cailloux s'écrasent à mes pieds,
Ensevelissants.
Au royaume du merveilleux égaré,
Le passantpasseurpassé,
Goûte les senteurs évaporées,
de son charme
de démesure,
Mais il semble s’en rire,
S’en habituer,
Sans amertume.
Ô roi, tu es mortel!
Ô Reine, "Fantaisie" n'existe plus,
n'a jamais existée.
Murmure tes refrains démodés,
calme tes soucis,

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