9.4.10

 

trois histoires dans l'une.+ l'aïoli à midi........


Il faisait froid toujours dans le grand local ce matin, même si les arbres de Judée sont en fleurs.
Il faisait « chaud » et froid tout aussi bien, c’est le moins que l’on puisse dire.
Fred disait hier soir que le blog était sa première lecture du matin !
Mais le blog, c’est un journal coincé par les convenances, un peu.
Impossible de développer, parfois.
Hier soir c’était la réunion de la Compagnie d’art singulier en préparation du festival international d’art singulier……
Si j’annonce que je vais m’en retirer on ne me croît pas.
Mais c’est la vie qui va me retirer de ces choses-là, même si j’en résiste un peu !
Quelle aventure ce bateau !
« Maman les p’tits bateaux qui vont sur l’eau ont-ils des ailes ? »
Danielle est un prénom à deux ailes, sûr, mais ne dit-on pas à tire d’ailes aussi bien ?
Çà s’s’passe bien pour le festival !
Nous avons un beau programme.
Il faut ici en remercier tous les artistes qui se préparent à venir, toutes les bonnes volontés autour de nous.
C’est une histoire d’amitié aussi, qui perdure depuis 1989 !
Pas mal, non ?
Et puis, de temps en temps il faut, comme ce sera le cas ce soir, passer à l’exercice de style exutoire: le récit-dessin.
La bande dessinée, pourquoi non ?
Mais l’important est qu’il y ait matière.
Et en l’occurrence la matière ne manque pas, sauf qu’à tout prendre, à 12 unités près, je n’ai plus de matière ‘(première’) et que mon four attendra dix jours pour repartir peut-être..
Bref…………….C’est le pâti !
Le pâti, c’est quoi ?
C’est moi, c’est toi, c’est nous ?
La boussole qui s’affole, au point que l’on ne retrouve plus sa route. !
Manque de flèche directionnelle, ou, tu l’as voulu tu l’as eu ! ?
J’ai envie de gémir, de me prendre pour une pauvre vieille, alors que je sens l’énergie
Affluer dans mes veines.
Où est l’intelligence de la chose ?
Sans doute ne suis-je pas intelligente ?
Je ne peux pas dire moi-même que je ne suis pas intelligente même s’il m’arrive souvent de le penser.
Je peux tout de même me permettre d’avancer que je ne suis pas assez intelligente pour savoir gérer certaines choses.
Je mélange tout volontairement, pour noyer le poisson.
Ce n’est pas convenable.
Mais comment faire autrement.
Dans mes peintures narratives, il y avait toujours trois histoires au moins dans l’une.
Je mets à la place de ceux qui tentent de démêler l’embrouille.
Allons A de ce matin, je t’aime bien !

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