11.4.10

 


Ecriture automatique.

Si le reflet de la glace vient par le côté il estompe le champ de vision de moitié.
Si le reflet vient en face il peut troubler le regard au point de créer des mirobolants moirés mirages.
A côté, à regret, distribué sans parcimonie, le fugace rayon, entre en collision avec la déraison.
Slach, alors froooooks, et fratacrooks !
Prendre trois bâtons de ch gum et mâcher longtemps, jusqu’à ce que la mâchoire épuisée , refuse d’en faire davantage.
Battons-nous ou est-ce inutile ?
Battons le bâton et trouvons le chaton siffleur,
Le gendre de la belle mare aux grenouilles croassant et croissantes.
Cr , cr, cr !
Il me reste trois pains d’argile.
Que fais-je ?
Quelle est la consigne ?
Est-ce que j’abandonne le terrain, l’ouvrage, et le chantier ?
Ou bien en bonne passionaria, prends-je mon épée ORGANuGAMMIQUE, pour aller pourfendre les ailes des moulins ?
L’avenir de ORGANuGAMME est –il une fois encore entre les mains de mon gardien du seuil ?
Pourtant il ne souffle rien, « LUI ».
A toi de jouer dit-il prenant la fuite.
Tu fermes les yeux et tu traverses le miroir……….
Depuis quel côté ?
A l’endroit, ou bien à l’envers.
Du côté qui grandit ou de celui qui rapetisse ?
Il dit « mon « Archange » que je dois dresser la glace vers le soleil et l’envoyer éblouir quelqu’un, je ne sais qui !
Eblouir, rebondir, époustoufler ! Epoustouflera ou non ?
Bonbon, glace à la vanille meringuée,
Parfum aux senteurs de patchouli,
Répandu dans mon escalier,
Virage à 180°, tout est dans le possible.
Chaque matin est un jour nouveau et que s’accomplisse le destin.
Danielle..

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