16.4.10

 

Durdica pense que je ne dois pas dire que je doute,souvent, parfois, toujours.

...............Et elle semble trouver que le doute ne colle pas avec mon personnage.
Le doute est le propre de la femme d'action.
quand elle agît, on la croit invulnérable.
Mais, le courage sans peur, n'est pas du courage, c'est de l'inconscience.
Je suis absolument consciente, de l'audace de mes positions, propositions, tentatives.
Je sais que l'erreur est humaine, et je sais aussi à quel point, je n'ai pas le droit de me tromper.
Non pas par rapport à moi-même, mais par respect des autres.
Ceux-là mêmes qui me font confiance.
J.E. me mettait en face de mes réalités l'autre jour, en me disant que le Facteur Cheval, au milieu de son jardin, n'engageait que lui-même et que par conséquent il ne pouvait pas s'affronter à des problèmes tels que ceux que j'affronte.
Sortede façon de dire CQFD..........Tu l'as voulu, tu l'as eu! Ton défi!
C'est sans doute la raison qui fait qu'il faut un jour arrêter les comparaisons et laisser l'oiselle s'envoler du nid, sans barrières, sans filets, et en oubliant les précurseurs s'il s'en trouve.
On peut toujours bâtir une thèse à grands coups de comparaisons, et se dire qui se ressemble sera assemblé.
Mais en ce cas c'est l'assembleur qui a besoin de filets de sécurité.
En plus ces assemblages sont souvent hasardeux, parce que l'on parle des mêmes choses sans approcher les différences.
Le sachant, et d'expérience, c'est la raison sans doute pour laquelle et par exemple j'apprécie tant les travaux sur textile.
Nous en reparlerons.

Ne me piègez pas entre les barrières habituelles.

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