25.2.10

 

ORGANuGAMME

Il faut à présent que je m’en exprime clairement !
J’ai choisi l’appellation ORGANuGAMME pour qualifier ma démarche.
Je ne peux pas revenir en arrière !
Je suis proche et reprochable de démarches honorables et nous dirons dont mes sentiments sont en connivence.
Pour autant, ces créations et ces « grand-pères » créateurs, sont des artistes de 20ème siècle. Et il y a beau temps que j’ai appris à marcher sans appeler papa, maman à la rescousse chaque fois que j’ai un problème.
L’apogée de mon travail, si ce travail mérite le terme est en 21 ème siècle.
J’ai établi toute ma construction pour obtenir ce débouché, neuf.
Ma proposition d’intervention dans le domaine public est un fait fondateur de l’avancée des choses qui ouvre un champ à des artistes qui ne seraient pas sortis de la boîte nivelée par l’Institution, et qui n’en seraient pas moins des créateurs éclairés.
En outre le fait fondamental, comporte l’essai tenté par l’Institution locale, d’approcher cet envisagement nouveau.
C’est là, son moindre mérite, même si nous patinons souvent, parce que l’harmonie que nous tentons de trouver, pour mettre en accord les paramètres normatifs et normalisés et cette situation « Hors les Normes ».
Le seul fait que des architectes, et plus particulièrement un architecte, sorti des écoles, accepte de venir à rencontre de l’anarchitecte pour converger « vers un Colossal d’art brut : ORGANuGAMME » est d’une importance remarquable.
Et en ce sens nous sommes « en puissance de « fondation » : Lui, Danielle Jacqui, et l’Institutuion Locale dés lors qu’elle s’engagerait.
Ce sont les raisons profondes qui me font conseiller de ne pas trop se servir de références 20ème siècle, et d’oser se poser en référence nous-mêmes.
C’est audacieux, d’aucuns diront prétentieux, mais nécessaire.
Ceci est le premier point qui m’importe prioritairement.
En second point et à égale importance.
Je l’ai déjà dit, se pose la question de la conservation ou non et de mon œuvre, et de « La maison de celle qui peint en tant que telle
Des dirigeants et conservateurs de musée importants ont déjà pris position à ce sujet, à Lausanne, à Baltimore, à Nice, notamment.
Je ne suis donc pas en train de batifoler.
Je suis sur des vagues sérieuses.
Et au travers de cette approche particulière, j’aborde plus généralement l’ensemble du problème, avec le suivi de lieux importants qui vont disparaître si l’on ne se met pas sérieusement au travail.
Les villes ne savent pas comment aborder les choses, et j’arrive à comprendre car ce n’est pas simple.
Mais à quoi bon, toutes ces écoles d’art, tous ces milliers d’étudiants en art, s’ils ne sont pas justement en mesure d’utiliser leur capacité de « potentiels conseillers ».
J’ai proposé donc à l’association des amis de Danielle Jacqui de s’emparer du sujet (tout à fait en phase avec sa raison d’être), et de mener à terme un travail sérieux sur le sujet qui devrait aboutir à de véritables assises.

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