30.6.09

 

enluminée, enrubannée,

Trop longue, trop courte,
Enluminée,
Enrubannée,
Illuminée,
Et tellement enragée,
Et engagée tant et tant,
Ma journée d’été,
Me donne le tempo,
De toutes les suffocations.
Je m’étrangle !
J’étouffe !
Je rue, J’esclabade !
Ô volés velus,
Voici le temps venu,
Voulu,
De toutes les opérations,
En récupération.
Le tableau aura pour nom :
Au feu l’artiste !
L’Embrasée de Saint Jean,
Ou les noces stellées- pontées- scellées,
Du diable auréoké à l’aur,
Déguisé en mixture d’art, en serpent plumé,
En oiseau pelé, en escalier vermoulu..
Je me détends,
Je me défends,
Contre les voleurs de dénudées en nuits d’été.
Les traversiers, les traverseurs, les travertis.
J’ensache,
Mes feux de position, et d’oppositions,
Mes avertisseurs.
Mais rien ne fait ni ne peut faire, ni ne fera et……..
Je partirai !

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