28.5.09

 

Ô si soit-il.


En soie en soi,
un jour de courrier ridicule,
Soirée, soir valsé,
Visitée par les anges de la nuit.
Tandis que sous les yeux endormis, repasse le film de l'aventure de la gare!
Comme un voyageur dans le train,
qui regarde le film.
Le poème sentiment, de l’étrange nostalgie,
Déroule son texte,
D’avant arrière,
Ses morsures, ses délices exagérés,
Sa débâcle.
Ô si soit-il…………
Couchée dans un champ,
Non, dans une allée,
Dans un embout emboué,
Où tous ceux qui passent peut-être,
Oublient de regarder.
Quand finissent les heures « luciolées » de l’été,
Et que regagnent les araignées, le fond de la toile,
D’une oubliée ou d’une autre à inventer,
On oublie de se souvenir,
Qu’après un jour vient un autre !
à espérer.
Un nouveau vivre encore !
Et tandis que l’on voudrait embaumer les heures,
Pour qu’elles oublient de s’effacer,
S’imposent les nécessités de surmonter, de lutter et de toujours recommencer !
Si glisse, si lasse, si belle,
en fin de soir,
enfin,
Me revienne la tendresse b....
Danielle jacqui


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