29.4.09

 

Graciela et les turquoises.


mes plus belles télés................
Une émission au Brésil dans un gisememt d'émeraude. Et une autre sur le quartz, vous savez, les fameuses géodes, comme j'en ai une petite dans la façade de La Maison de celle qui peint.
Curieusement je l'avais trouvée chez les "Compagnons d'E),
et je l'avais aussitôt pensée indispensable dans mon mur.
Pour ce faire, il fallait faire un trou dans la paroi, et je ne pouvais que très difficilement le faire moi-même.
J'avais alors demandé à Clo, de bien vouloir m'aider, comme d'hab..., et comme d'hab il avait bougonné et refusé.
J'avais bien tenté de prendre une aiguille et un marteau, mais c'était difficile.
Le lendemain comme d'hab.Clo, s'était levé et avait demandé: où est-il ce trou à faire?
Je lui avais montré et il l'avait fait en riant dans sa barbe!
C'est alors que j'avais scellé la géode.
Le coeur en était violet et il a blanchi semble -t-il au soleil.
Mais on dit que l'on peut tricher.....et mettre de l'encre ou autre.
Ges gisements de pierres semblent magiques, tout autant que l'on se prend à penser à tous ces gens qui peinent et qui râclent et qui creusent péniblement avec la foi, et la croyance en leur bonne étoile, poussés par la nécéssité.
La journaliste l'autre jour nous parlait de la Turquoise de son pays d'origine et je voguais alors vers ces contrées de mille et une nuits avec leurs toits de turquoise.
Plus près de moi, dans la grande boîte des souvenirs l'est une carrière de marbre vert, abandonnée parce que perdue tout en haut, trop haut dans ma montagne.
Mais qui est Graciela?...........;;

la bouche sans dent est à l’envers.
La bouche viole, violée, violeuse, violacée est vorace.
Elle avale dans un cil, clal, clol,
la proie convoiteuse qui pensait n’en faire qu’une bouchée,
en direct et en différé aussi.
La lèvre lippue, lippe, serre, aspire,
et demain revient, et se retient.
Avec et sans son chien,
le trappeur attrape, et se laisse attraper.
Rien qu’un Peu.
Un P comme Philippe……………
Un P qui se dit F.
F comme fini.
Dans le jardin d’hiver,
Au pays du Grangré,
Et des croqueurs de pommes vertes,
Cri, croit crains, et gagne son pzin!
Futil, fut-il fluide?
Floc,
Loque et fripe,
Trinque l’anis frais,
Et boit du thé au citron,
Sous le dernier croissant de lune,
Attendant le retour de la marée et des poissons cornus.

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