Vers un colossal d’art brut ,les neuves pistes de Danielle Jacqui en Art Singulier

Par essence l'Art Singulier est natif de banlieue, de squatt, de chemins buissoniers,
de résistants, de rebelles, de difficultueux malgré eux, le plus souvent discrets, qui ont des marginalités artistiques positives, parce que justement, ils FONT, sans souci de rentabilité ni d'assimilation au convenu, et que par tant, ils sont véritablement créateurs.

Il serait indécent de transformer cela, en une sorte de fête foraine à répétition, sorte de "mêle-tout et j'embrouille les cartes"!.

Il peut très bien y avoir partout des marchés de la création dans lesquels chacun peut s'il le veut tenter de se démontrer ou de tenter d'en gagner son pain quotidien.
Le Festival d'Art Singulier, LUI, doit s'"auto-respecter", se recentrer, sous peine de se diluer.
Il y a un grand travail à faire sur l'Art Singulier.
Ce travail doit entrer dans sa phase de conservation.......... (conservatoire)........., d'archivage, d'histoire, j'allais parler de sciences.......
Des artistes en demande du respect tout à fait naturel que nous leur devons, ont compris dans quelle direction je pointais le doigt, en affichant "La Modeste Collection".
Il me paraîtrait normal que nous innovions ,ici, chez nous, ce fonctionnement nécessaire.
Nous sommes là, pour faire du travail de fond.
Il n'y a pas de contradiction entre des grands programmes à l'horizon, et l'Art Singulier, mais il y a différentes façons d'aborder le sujet, afin que le résultat final soit!
Danielle Jacqui.