12.5.08

 

le plafond plafonne mais j'ai des ailes.




J'ai travaillé à la mise en couleur de plusieurs pièces ce matin à l'atelier.
Heureusement ma VP. m'avait accompagnée, car toute seule, je serais angoissée par la solitude extrême de ce lieu les jours feriés.
Il y a pourtant les pigeons très roucouleurs et des nids un peu partout avec des tous jeunes qui piaillent.

J'ai voulu couler en ciment une pièce pour remplacer celles de mon jardin, qui ont été choisies pour être exposées à Nice.
L'idée de voir mon jardin déplumé me gêne un peu, bien que je suis complètement ravie de cette envolée Niçoise.
Je me suis donc mis dans la tête l'idée de fabriquer des pièces de remplacement.
Quand je me fixe un objectif rien ne saurait m'en arrêter.
Je suis allée chercher le sac de mortier dans ma voiture bien trop lourd pour moi.
J'ai dû faire une halte et repartir ensuite jusqu'au jardin sans m'arrêter.
C'était juste, mais j'ai pu faire.
J'ai réalisé 3 petites gâchées et couler ma pièce.
Je n'avais pas assez de mortier et je devrai faire un rajout.
Mais je me suis promis d'acheter le ciment par petits contingentements.
Je l'ai fait.
J'ai ainsi gagné sur moi, sur mon âge, sur toutes ces petites difficultés qui me rendent plus fragile et voudraient m'anéantir.
Je suis sans nouvelles de mon épistolière favorite?
Est-elle en désamour à mon égard?
Je m'en chagrine.
Le premier chapître de mon nouveau roman commence ce soir. (affaire à suivre).

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