25.5.08

 

cratère caractère

0069 les neuves pistes de Danielle jacqui en art singulier.

Le noyau solide et solitaire du cratère caractère,
Sous-tends, la règle du quatre par sept.
Il n’y a rien à comprendre,
Et il ne faut pas s’en méprendre,
L’ineptie fait partie du libre choix de l’artiste.
Mais lorsque le mot s’échappe il prend son sens,
Ses cents sens, et même son non-sens.
Se fait la « Belle » et dire « ORGANuGAMME »
Danielle.

M’a fait rêver l’autre matin cette émission radio qui relatait l’histoire de cette « FEMME »
À la mesure de mes rêves, qui rencontre son romantique à l’âge de quatre ans et le reconduit toute sa vie, tout en étant assez libre d’esprit pour savoir que lorsque l’on voyage il faut partir en solitaire.

« DJ » ma copine, m’a permis de voir « Diamants bruts du Japon » et je l’en remercie infiniment.
C’est une pure merveille.
J’ai surtout été particulièrement intéressée par l’artiste qui réalisait du travail avec de la terre.
J’ai trouvé cela si fort, que j’ai dû ensuite aller sur « mes images » pour tenter de jauger mon propre travail en la matière.
On pourrait ainsi digresser sur ce qui rapproche et sur ce qui différencie.
Ce serait une façon autre d’ »ORGANuGAMMER ».
Le travail sur les trains est magnifique aussi.
Je parle de ce travail-là puisque nous avons incité nos artistes du festival à travailler sur les voyages ferroviaires.
En relation non innocente avec mon propre projet , même si je ne sais plus si je dis toujours « La Gouire » ou si j’ose enfin aborder le mot « Gare ».
D’ailleurs il n’y a pas de mots pour qualifier la qualité de toutes ces productions et de leurs auteurs.
La qualité de ce film aussi.
Merci DJ.
Claire et Iza sont très gentiment venues m’aider pour la « Mariée qui n’a jamais existé » afin que je lui fasse toilette avant son départ pour la grande expo Niçoise.
Elles m’ont aidée à bouger la table à l’entrée de la remise et à dégager le rouleau socle.
Je les remercie bien fort.
Mais quand j’ai vu l’ampleur de la tâche à accomplir sur la robe, j’ai préféré renoncer ce soir- là.
Je suis revenue sur le « tas » le lendemain matin et j’ai essayé de travailler par terre.
Mais je ne savais pas par quel bout commencer et j’ai bien crû que j’allais abandonner.
Mais le cerveau humain est particulier et sait résoudre tous les problèmes.
Le mien en tous cas sans doute.
J’ai tout lâché.
Je suis montée dans mes « arrières encombrées », j’ai ouvert la malle aux fanfreluches et dentelles et j’ai sorti tout ce que mon inspiration a suggéré.

J’ai ramené la petite chaise basse du jardin et tout en étant assise, j’ai remplacé le volant du bas de robe qui avait souffert de la poussière.
J’ai taillé l’ancien volant et je l’ai remplacé par le neuf nouveau et autre.
J’ai enlevé les papiers transparents qui isolaient les boules pelotes blanches et elles sont sorties, toutes blanches comme neuves.
Ce qui paraissait désespéré, a ainsi trouvé sa solution et je suis bien « heureuse ».
Mais à vous le pompon, Messieurs les transporteurs!
Ce fut un dimanche pluvieux et non dénué de soucis.
Mais nous saurons faire pour traverser les bourrasques.

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