11.3.08

 

0050 Les neuves pistes de Danielle Jacqui en art singulier.
« Il » disait en quelque sorte, que l’artiste qui prétendrait ne pas s’occuper de la politique fait de la politique car le geste de l’art est politique.
Sauf qu’à tout bien considérer, il y a plusieurs façons de faire cette politique-là, sérieusement et généreusement, ou autrement.
J’ai toujours pensé que mon geste était politique, parce que, engagé dans une grande part d’audace, et porteur d’une certaine exemplarité qui pouvait susciter l’envie et le bonheur d’exister chez d’autres.
Il faut pouvoir se situer dans la vie, dans sa vie, et par rapport et avec les autres.
Toute une histoire.
C’est la raison pour laquelle me semble-t-il on ne pourra jamais se passer des « anciens » et de leur expérience.
Il faut pouvoir distinguer, ses propres exagérations de la part de notre logique utile, à nous-mêmes et peut-être aux autres.
Quand suis-je déraisonnable et quand suis-je laxiste?
Après en avoir réfléchi, j’ai décidé que si je ne réagissais pas quant à l’atteinte passée et actuelle, à mon environnement, j’étais laxiste.
Je me dois de faire remarquer que notamment des groupes d’enfants viennent pour voir et visiter ma maison et que lorsque l’on a fait les travaux sur le CD 45 en face de chez moi, on n’a pas tenu compte de ce paramètre.
Je garde par devers moi des multiples photos qui en témoignent.
J’ajouterai, qu’il y a eu une vision utilitaire et technique plus que sans doute, appréciation paysagère, ou de caractère de qualité de vie.
On nous a enlevé notre paysage, notre lavoir, et l’accès à la rivière.
Des riverains du lieu, n’hésitent pas à faire en passant, des comparaisons osées, mais bien imagées, devant le grillage tendu là.
J’avais dû en son temps protester fortement pour que l’on n’érige pas en face de la « Maison » un mur d’une hauteur suffisante pour en bloquer la vue.
Et pour bloquer l’accès aux caméras en tout genre qui filmaient depuis l’autre côté du pont et de l’autre côté du muret qui donnait accès au lavoir.
Cela faisait arrêter les touristes dans le village.
Et cet argument à lui seul aurait dû conduire à la réflexion, me semble-t-il.
Lorsque l’on entreprendra un historique de la façade de ma « Maison », on n’en finira pas de découvrir que ce fut une véritable épopée!.
Et j’ai réagi en adressant une lettre explicative à ces gens qui demandent mon suffrage.
Je l’ai fait seule, alors que je pense cela n’aurait peut-être pas été à moi de le faire.
Dimanche avec Rémy via la si gentille Ghigi,( ô! combien merci!) accompagnée de Monick.
Ce fut bien agréable!
Je ne t’ai pas répondu Ghigi, l’autre soir, mais mon idée est qu’il faut toujours veiller à ce qu’il reste un chemin de traverse, même si l’on sait qu’il ne conduit pas exactement au résultat.
Parce que lorsqu’il n’y a plus que oui ou non, blanc ou noir, seulement deux possibilités, c’est anormal, voir risqué, pour les singuliers.
J’ai bien aimé vous voir apprécier les peintures de ma copine Marie France.
Hier soir l’un de ces habitués de l’insulte est passé en voiture tandis que je fermais mes volets et a crié « La Fondue »!.....................
C’est très agréable!
Ce n’est pourtant pas cela qui fait que j’ai besoin de compenser une carence en vitamine D.


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