23.7.07

 

Lundi 23 Juillet



J’ai travaillé en acharnée, jusqu’au soir pour mettre en couleur et attendre la mise en marche d’une cuisson à 770°.

Bien que,

La barre au projet débarre.

Je barre les barreurs.

La barre est un trait en continu.

Entre parenthèse.

Entre parents et consanguins.

J’oublie de me « barrer ».

En tout ce monde,

De la payée Holiday,

La couleur que tu cherches en brûlant tes yeux, n’existe pas.

Leur mille et une trente quatre heures,

Font oublier l’heure et les combats de cœur en Soul portée, dans la cuisine des productions ahurissantes,

Hors normes.

Around,

L’enthousiasme est de surface, et le cœur manque de sang, de sens et d’unisson.

Ils se barrent et baladent.

Araignées du matin, chagrin.

Nid de lucioles qui oublient de phosphorer, trapèze traceur en trémolos travelling, odyssée voyageuse d’autiste pour artiste. Ineptie en contresens, nez sans odorat, emmitouflé, précautionneux.

Sans armée, je semble chevaucher des chevaux qui n’existent pas..

Chevalière sans Chevalier vrai,

Ma guerre décourage et s’étiole lassée d’attendre l’enthousiasme et l’engagement au-delà.

Etoiles en Paradis, vous, les enchanteresses, ô mes si belles du rêve, soyez mes Voix,

Conduisez-moi hors tous les découragements, sur la piste lactée de l’accomplissement de mes formes renouvelées, des cuissons miraculeuses, des émaux divins.


Pour un plan projet gagnant gagneur, sans route déviée, sans autre destination ou issue de secours.


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