22.5.07

 

Mardi 22 Mai


J’ai entamé une descente aux enfers de la « réminiscence », pour mettre à jour « mon roman » qu’un éditeur désire lire.

C’est à la fois, un travail important et en même temps facile, tant j’avais longtemps travaillé cet « ouvrage ».

Les bonnes âmes avaient eu beau me dire, que j’étais faite pour peindre et pas pour écrire, je m’étais entêtée.

Je ne lâche jamais une tâche entreprise.

L’écriture est un vrai grand travail, un travail à part entière.

Peu importe le temps mis, seul compte le rendu.

L’écriture abrupte comme sur le blog, est une chose tout à fait défendable.

Le choix d’aller plus loin et de peaufiner pour rendre les choses littérairement transmissibles est autre.

Chance à moi, si j’en arrive.

Tout au moins, aurais-je essayé!

Hier, Paquito, en voulant m’aider à l’enfournement, a cassé une pièce.

Il s’en est bouleversé, alors que depuis le début, j’assure tout le monde, que l’erreur est humaine et qu’en l’occurrence, tout est rattrapable.

Il n’arrive que ce qui doit arriver et il n’y a pas de drame, face aux incidents matériels.

J’ai laissé la pièce de côté, et je verrai aujourd’hui, comment la reprendre.

Soit que je mouille abondamment les deux extrémités et les soude avec une barbotine épaisse de la même terre, soit que je mette en cuisson les morceaux tels quels, et je les souderai au moment de la construction.

Pas de panique donc.

Il n’en demeure pas moins, que si nous préparons bien, le grand monumental en question, il faut résoudre l’aide à l’enfournement.

J’ai impérativement besoin, Antoine, de la photographie agrandie de « La Gare »!

Merci, de bien vouloir faire diligence.

Danielle Jacqui.


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