17.4.07

 

Lundi 16 Avril


Danielle jacqui récit.

Les e mails des artistes Américains ce matin parlent du « weather » difficile en ce moment dans l’Etat de New York.

Il fait très froid, le vent souffle et il neige…….. Mais l’on sait que le printemps Américain est ainsi difficile mais qu’il offre des retournements de situation très rapides aussi…………….

Come back sur Avril 2003 Je cherche toujours un éditeur !

Journal américain n°2 samedi 12 avril.

dernier jour ou presque.

10h30. J’étais prête lorsque C et M avait frappé à ma porte. Nous partions en taxi, vers je crois East river, afin de rejoindre D L B et N G pour le rendez-vous du breakfast.

D, semblait heureuse de me retrouver. N et elle-même étaient attablés, avec les parents de D.

Petit breakfast joyeux. Cette rencontre qui serait peut-être pour C, fructueuse, j’espérais. J’étais heureuse de retrouver D et N et ainsi de faire perdurer cette relation amicale.

Puis, nous nous étions séparés, et avions repris un taxi pour aller au G Museum.

Lorsque nous y étions allées avec L en janvier 2001, il était en travaux et nous n‘avions pu voir que le rez- de chaussée de cette architecture magnifique, blanche et en colimaçon jusqu’en haut.

L’exposition consistait en une installation géante d’art contemporain mêlée de thèmes surréalistes, pas forcément nouveaux.

On pouvait condamner, tout en bloc, comme l’avaient fait C et M, qui visiblement, n’aimaient pas cela.

Il y avait un discours, et peut-être fallait-il s’attarder un peu et pénétrer les codes.

Les installations par elles- mêmes, étaient très « mic mac », avec un imbroglio d’objets pour infirmes: prothèses, béquilles, et surabondance de mousse de polyuréthane. En même temps, cette démarche m’intéressait au sens où j’imaginais disposer de ce lieu pour y régler mon installation ! …

Le rêve….

Avoir le musée pour moi seule!

Etre maîtresse d’une une mise en scène, à thème pourquoi non ?

Imaginer un parcours et des haltes le long du colimaçon, et un immense quelque chose qui serait suspendu dans l’axe principal du toit de verre, comme ils avaient fait ici pour l’écran géant à facettes hexagonales.

Et une apothéose dans la dernière salle comme ils l’avaient fait, dans cette exposition….A quand Le G pour Jacqui?! Comme si ma vie active devait continuer sans fin. !

(Je ne savais pas alors que je n’étais pas mûre pour cette expérience, que mon chemin artistique en fait débutait seulement, et que j’allais en 2007 accomplir une œuvre céramique qui en serait ( je l’espère) la « glorieuse » apothéose.)


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