19.3.07

 

Dimanche 18 Mars 2007









Visite à Pont de L'Etoile de

mes amis de Philadelphie.

Suzanne et Robert viennent en France pour leurs vacances

généralement et notre amitié perdure depuis 2002 où ils avaient visité "La Maison de celle qui peint" pour la première fois.

Hier donc, je les ai tout naturellement conduits jusqu'aux ATN.. et nous avons pu regarder au travers les baies

vitrées mes créations actuelles.

Ce m'est toujours un plaisir de les revoir.

J'ai une grande bouffée

d'amitié pour eux.

Clin d'oeil: Robert

m'a offert le nécessaire pour confectionner "le Bloody Mary" véritable, notamment le "horse

raddish" que je ne trouve pas ici.

C'est la vraie richesse de la vie que je reçois ainsi par le biais de mon aventure

artistique.
Des amis partout tout autour de la terre!

Comle back 2002

extrait du Journal Américain

30 mai 2002 (21)

Avec Suzanne et Robert à Philadelphie.


Suzanne et Robert étaient

arrivés vers 9 h 30 le matin. Ils étaient accompagnés de leur fille. Nous nous étions installées à l’arrière de la voiture Lisa, la jeune fille et moi.

Lisa avait eu tôt fait de lier conversation avec la jeune fille et elles s’étaient mises à faire des échanges d’auteurs, de livres.

On ne peut pas ne pas le

remarquer. . Mais chacun vit sa vie, je l’ai déjà dit, et j’en ai pris mon parti. Je ne peux pas être performante tout le temps et

partout. J’ai mes points faibles, et c’est bien peut-être de le savoir.

Durant ce trajet, je m’étais sentie malheureuse, de ne pas savoir communiquer aussi facilement que mon amie.. Il n’y avait rien à dire de plus.

Il y avait un bon 2 h de route entre Bethlehem et Philadelphie. Mais le chemin avait été vite parcouru.

En entrant dans Philadelphie, nous avions eu un bref aperçu de la ville, mais Suzanne avait dit que ce n’était pas spécialement intéressant et qu’ils avaient choisi de nous montrer autre chose.

Nous nous étions tout de suite rendus dans le quartier pauvre de la ville. On peut dire le « Bronx » de Philadelphie, peut-être.

Et tout de suite, j’avais été fascinée par les superbes et gigantesques murales peintes, qui embellissent et illuminent les façades de ce quartier. Robert avait arrêté la voiture chaque fois que je l’avais désiré pour que je puisse prendre des photos, que nous puissions regarder tout à loisir. Il paraît, qu’il s’en trouve plus de deux mille. Il nous avait été expliqué, qu’il était de la volonté de la responsable de la ville de Philadelphie de vouloir chasser le désespoir et la tristesse par ces décorations de murs. Il semble que chaque fois les habitants du quartier étaient consultés quant à leurs désirs en la matière.

J’avais trouvé très beau, il n’y a rien à redire. Cependant, c’était me semble-t-il, des œuvres d’artistes plus ou moins professionnels. Il n’y avait pas très souvent, l’expression même, et en direct de ces gens du crû. Ce serait moins bien fait, mais plus direct sans doute.

Notre promenade avait abouti devant un immense mur recouvert de mosaïque de type « Outsider Art ». Il s’agit du centre culturel .

Le mur était très grand, de plusieurs pans, rutilant, avec des miroirs. Où étions- nous donc. ? Suzanne nous avait expliqué qu’elle allait nous emmener chez le créateur de ce mur.. .........;


Comments: Enregistrer un commentaire



<< Home

This page is powered by Blogger. Isn't yours?