19.2.07

 

Dimanche 18 Février







Je suis obsédée, par cette cuisson biscuit à sortir, cette cuisson or, que Daniel s'est si gentiment proposé de mettre en route.

Merci, MERCI.

A demain pour le résultat !?

Et en attendant remontant le temps, je propose :

Journal printemps 2002 (4)

29 avril (suite)


J’étais fascinée et bouleversée par le spectacle.......Si j’étais dans le ciel c’était pour ouvrir mes yeux sur l’aventure et la nature et certainement pas pour regarder des films idiots sur l’écran minable adossé sur l’arrière du siège de mon voisin avant.

Ceci dit, chaque fois que nous avions conversé en anglais, il avait compris, ce charmant petit Américain, ce que je lui disais, et vice et versa. Il eut pu être blagueur, chatouilleur et nous nous serions bien amusés, mais il m’avait laissée seule avec mes pensées nulles................

..............Dans le ciel ; Je « m’enliselirais » et je me disais que l’avion pouvait tomber,

Et je « vissais » et « versatilais » sans vice.

Pensée dans les nuages pince-moi, et pince-mi.

Je parlais en anglais en pensant le français.

En franc parlé aux portes du paradis je m’égarais au-dessus des terres gelées,

En pensant à Lui, l’homme glacé qui déglaçait et décongelait tout seul à présent depuis que j’étais partie.

Passion, je le savais, fugace, fougasse, trompeuse et trompée et trompette qui s’espaçait, et qui m’agaçait sans que je puisse renoncer...............

Durant la traversée, j’avais fait tout un travail d’annotation concernant les photos que j’emmenais et qui avaient été bien utiles ensuite.

Les choses avaient été un peu difficiles pour moi en arrivant à l’aéroport de Philadelphie, car il y avait une file impressionnante de voyageurs aux services de l’immigration. J’avais attendu plus de deux heures et je me faisais du souci parce que ma correspondance pour Allentown, partait une heure après mon arrivée. Mais les choses s’étaient bien arrangées, j’avais pris la correspondance suivante.

A l’arrivée, Sue, en charge de ma personne durant tout le séjour, avait été prévenue de mon retard, et m’attendait.

Ainsi avait commencé la rencontre avec « L’Ange Gardien » qui avait été de tous les instants :

La magnifique et irremplaçable Sue.

J’avais été d’abord reçue pour une aimable réception de bienvenue.

Puis conduite dans l’appartement qui m’était alloué pour la durée de mon séjour, en face de l’université, en bordure d’un grand et superbe parc.


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